Le Château

A la découverte du Château Lézergué…

Il était une fois...

Sur un domaine noble fondé au 13ème siècle , le Château Lézergué a vécu mille vies, mais le cidre a toujours fait partie de son histoire.

Picto tonneau de cidre

...une légende

Ainsi, au 20ème siècle, la légende nous dit qu’on produisait sur le domaine autant de tonneaux de cidre qu’il y a de jours dans une année !

Le gardien...

Si aujourd’hui le château semble assoupi, ne vous fiez pas aux apparences, il ne dort que d’un œil.

Picto arbre de verger

...d'un trésor

Posé au milieu d’un verger de 35 ha, il veille sur la santé des 25 000 arbres qui l’entourent.

La fierté...

Ces magnifiques pommiers c’est l’orgueil de la famille Jan. Le père d’abord, puis désormais ses trois fils : Matthieu, Guillaume et Joseph.

Picto famille de 3 frères

...d'une famille

Trois frères qui, depuis le début des années 90, ont eu à cœur de développer ce domaine cidricole plusieurs fois centenaire.

Un travail récompensé...

Leurs efforts n’ont pas été vains puisque le Château Lézergué, cidre IGP Biologique, a été de nombreuses fois médaillé dans les plus grands concours régionaux et nationaux.

Picto bouteille et verre de cidre

...et mérité !

Le cidre Château Lezergué est un produit naturel et sain à l’aise en toutes circonstances. N’hésitez donc pas à l’inviter à l’apéritif ou pour accompagner vos repas.

L’histoire
du Château Lézergué

Les seigneurs du château de Lezergué, « la cour seigneuriale » du territoire du Grand Ergué, aux origines médiévales, avait localement droit de haute, basse et moyenne justice. Guy Autret (1599-1660) l’historien et propriétaire des lieux en parle ainsi : « une terre belle et bien bâtie, noble et des plus anciennes de l’Evêché de Cornouaille, qu’elle a été alliée par mariage en plusieurs maisons de Bacheliers et Chevaliers », avec en outre deux évêques l’un au XIIIe siècle, le second au XVIIIe juste avant la Révolution.

C’est entre 1752 et 1770 que fut édifié l’immense château de granite et d’ardoise par les derniers hobereaux de La Marche avant leur exil à l’étranger en 1791. En 1920, visitant la bâtisse vieillissante occupée par un fermier, le mémorialiste Louis Le Guennec note la présence des vergers d’autan : « Devant le château existent les traces des anciens jardins, avec un mur de soutènement, des escaliers en arc de cercle et des terrasses symétriques ». Dans le cadastre Napoléonien de 1834 on note plusieurs parcelles de vergers qualifiés de « vras » (grands) et de « goz » (vieux).

Dans la seconde moitié du XXe siècle, le dernier exploitant agricole de plusieurs générations de Nédélec, surnommé « Jean Lezergué », s’exprimait avec passion de sa production de cidre : « Ça nous est arrivé de produire autant de barriques qu’il n’y a de jours dans l’année ». Et ce n’est sans doute pas un hasard, si les bouilleurs de cru s’installaient jadis avec leur alambic tout près du pont banal de Lezergué pour y préparer l’eau de vie de pommes, appelée « lambig ».

Texte de Jean Cognard, animateur de l’Historial du Grandterrier, et croquis de sa fille Anne, peintre-illustratrice à Douarnenez.

peinture-ruines-lezergue-anne-cognard

L’histoire
du Château Lézergué

Les seigneurs du château de Lezergué, « la cour seigneuriale » du territoire du Grand Ergué, aux origines médiévales, avait localement droit de haute, basse et moyenne justice. Guy Autret (1599-1660) l’historien et propriétaire des lieux en parle ainsi : « une terre belle et bien bâtie, noble et des plus anciennes de l’Evêché de Cornouaille, qu’elle a été alliée par mariage en plusieurs maisons de Bacheliers et Chevaliers », avec en outre deux évêques l’un au XIIIe siècle, le second au XVIIIe juste avant la Révolution.

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C’est entre 1752 et 1770 que fut édifié l’immense château de granite et d’ardoise par les derniers hobereaux de La Marche avant leur exil à l’étranger en 1791. En 1920, visitant la bâtisse vieillissante occupée par un fermier, le mémorialiste Louis Le Guennec note la présence des vergers d’autan : « Devant le château existent les traces des anciens jardins, avec un mur de soutènement, des escaliers en arc de cercle et des terrasses symétriques ». Dans le cadastre Napoléonien de 1834 on note plusieurs parcelles de vergers qualifiés de « vras » (grands) et de « goz » (vieux).

Dans la seconde moitié du XXe siècle, le dernier exploitant agricole de plusieurs générations de Nédélec, surnommé « Jean Lezergué », s’exprimait avec passion de sa production de cidre : « Ça nous est arrivé de produire autant de barriques qu’il n’y a de jours dans l’année ». Et ce n’est sans doute pas un hasard, si les bouilleurs de cru s’installaient jadis avec leur alambic tout près du pont banal de Lezergué pour y préparer l’eau de vie de pommes, appelée « lambig ».

Texte de Jean Cognard, animateur de l’Historial du Grandterrier, et croquis de sa fille Anne, peintre-illustratrice à Douarnenez.

Découvrez tous les secrets de fabrication du cidre Lézergué

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